La neige d’hier matin, à mon arrivée, est pratiquement toute fondue. Il ne reste que quelques plaques de glaces sur les trottoirs. Aujourd’hui la pluie a pris la relève. Depuis mon arrivée ici, le ciel est encore plus gris que celui de Copenhague.
Demain, je reprends la présentation de Chroniques afghanes et de l’Afghanistan, entre l’espoir et la peur. Pour l’événement de lundi au centre culturel Caisa, cinq spécialistes sur l’Afghanistan se joindront à moi pour une discussion dont le thème sera la reconstruction de l’Afghanistan. Plus tard dans la journée, c’est au tour de l’UNIFEM – United Nations Development Fund for Women – et l’Association finlandaise des femmes journalistes d’organiser une discussion autour de Chroniques afghanes.
Le lendemain, j’aurai la chance de projeter mon tout premier film, « Les derniers chasseurs du petit havre », à l’Université d’Helsinki dans le département d’Études nord américaines – North Americain Studies Program – au Renvall Institute.
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