Bernard Perusse – The Gazette
« Un beau film »
Odile Tremblay – Le Devoir
« Le magicien de Kaboul est un très beau film, qui ne sombre jamais dans le sensationnalisme ou le mélodramatique. »
Sophie Bernard – Le Lien Audiovisuel
« …bouleversant… »
Martin Gignac – Ici
« Un message d’espoir qui ne laissera personne indifférent »
Cinema Montréal
« Le magicien de Kaboul », un film de Philippe Baylaucq
En 2001, Haruhiro Shiratori perd son fils unique dans l’effondrement des tours du World Trade Center. Au lieu de s’enfermer dans la douleur, il choisit d’aller à la rencontre du peuple afghan et de lui venir en aide, afin que de tels attentats ne se reproduisent plus. Philippe Baylaucq a filmé – pendant plus de quatre ans et sur trois continents – la quête de ce Don Quichotte japonais qui rêve de construire un centre culturel pour les enfants de Kaboul.
Partout où on l’invite, Shiratori évoque le drame des enfants afghans. Il prêche, convainc, récolte des fonds sans relâche avec une détermination qui force l’admiration. À travers cette quête humaniste parsemée d’embûches, on découvre le voyage initiatique de ce père qui, en brisant le cycle de la violence, tente de se réconcilier avec son fils décédé.
***
À quelques reprises, lors de mes différents voyages en Afghanistan, j’ai pu tourner des images d’Haruhiro Shiratori. J’ai aussi eu la chance de croiser Philippe Baylaucq à Kaboul entre autre, lors du tournage de Chroniques afghanes.
Leave a reply