Je tiens à exprimer ma reconnaissance à tous ceux, aussi bien au Canada, en Espagne, en France et au Pakistan, dont la collaboration m’a été précieuse.
Je ne saurais oublier ici la contribution des organisations initiatrices de ce projet, Alternatives (Canada), Amorces (France), Architecture et Développement (France), Instituto Sindical de Trabajo Ambiente y Salud – ISTAS (Espagne), le Pakistan Fisherfolk Forum (Pakistan) et le National Resource Protection Programme – NRPP (Pakistan).
Mes remerciements vont d’abord à Mohammad Ali Shat, Président du Pakistan Fisherfolk Forum, son épouse Tahira, et leurs enfants que je considère non seulement comme des amis, mais comme des membres de ma famille.
Je remercie également son équipe à Ibrahim Hydri et dans les autres localités de la province du Sind, pour avoir encadré mon travail sur le terrain et m’avoir accompagné dans le Delta de l’Indus, en particulier Afeez Tunio.
En France et au Canada, je remercie notamment les personnes suivantes qui ont participé à l’élaboration du projet :
Catherine Pappas, pour son assistance toute au long de la réalisation du projet, pour ses suggestions, sa relecture et ses corrections, Alex Hill et Feroz Mehdi, chargés de projet d’Alternatives (Canada), Ali Gacem, délégué général d’Amorces (France), Céline Meresse, responsable de programme d’Architecture et Développement (France), Ludovic Jonard, délégué général d’Architecture et Développement (France), Pierre Beaudet, directeur d’Alternatives (Canada). La confiance qu’ils m’ont accordée m’a permis de mener ce projet à bien.
Un merci tout particulier à Csilla Kiss, chargée de projet (Amorces/Alternatives), qui, souvent dans l’ombre, a fait un suivi exemplaire.
Pour leur commentaire, leurs idées et leur aide précieuse, je remercie également : Michel Vincent (qui a passé des journées complètes à monter l’exposition) , Hugo Brochu, Natalie Lamoureux, André Leblanc, Lynn St-Germain et Martin Beaulieu.
Je tiens aussi à adresser ma vive gratitude à toutes les personnes que j’ai rencontrées et photographiées tout au long de cette aventure, qu’ils figurent ou non dans cette exposition. Et c’est à eux que je dédie ce travail. Faute de barrières linguistiques, je n’ai pas pu enregistrer toutes les histoires qu’on m’a racontées.
J’ai tenu, toutefois, à ce que soient traduits et reproduits par écrits, certains témoignages recueillis dans les lieux que j’ai visités. En vous priant de m’excuser de ne pas pouvoir les citer tous.
Enfin, ce projet n’aurait jamais vu le jour sans l’apport financier de la Commission Européenne par le biais du programme Asia Pro Eco.
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